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Selon le modèle de Masters et Jonhson (deux célèbres sexologues), on peut discriminer la sexualité en 5 phases :
Chacune de ces phases pouvant être soumise à un trouble et justifier un traitement médical.
Ces bases étant posées, penchons-nous donc sur les effets de l’orgasme sur le corps humain. Chez l’homme comme chez la femme, cette phase se traduit par de multiples signes généraux interprétables par le partenaire :
A noter que chez ces messieurs, l’orgasme peut être accompagné d’une éjaculation. Ainsi, l’éjaculation n’est pas un pré-requis pour la survenue de l’orgasme !
Pour simplifier très grossièrement, on peut assimiler le système neuronal à un circuit électrique où se croisent deux voies principales.
En parallèle, dans le cerveau, tout clignote à la manière d’une guirlande de Noël 🎄. Tandis que le noyau accumbens (au centre du circuit de récompense) et l’amygdale (en charge des émotions) sont hyperstimulés, une zone du cortex orbitofrontal (en avant du cerveau et en charge du contrôle et de l’inhibition) reste quant à lui, bien éteint…
La principale différence semble survenir au niveau de la période réfractaire. Contrairement à l’homme, tant que la stimulation continue, une série d’orgasmes multiples peut s’enchaîner ! Pourtant, à part certaines zones spécifiques, il semble que l’activité cérébrale soit la même. La recherche sur le sujet bat toutefois son plein. Vous ou votre partenaire a du mal à atteindre cette plénitude ? Consultez notre article Docteur, j'ai du mal à atteindre l'orgasme.
Auteur : Benjamin BARKAT (Externe hospitalier à l’APHP), relu par le Dr Juan Sebastián SUAREZ VALENCIA
Retrouvez ici les réponses aux questions que vous pourriez vous poser