Papillomavirus (HPV) : symptomes causes traitement

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Le virus du papillome humain, communément désigné sous l'acronyme HPV et plus connu sous le nom de papillomavirus, est l'une des infections virales les plus répandues au monde, affectant des millions de personnes. Ce virus présente un intérêt considérable en raison de ses conséquences potentiellement graves pour la santé. Le virus du papillome humain est un groupe de virus qui infectent la peau et les muqueuses. Il existe plus de 200 types de HPV différents, dont certains sont inoffensifs, tandis que d'autres peuvent provoquer des problèmes de santé sérieux. Les HPV sont généralement transmis par contact cutané ou sexuel, et ils sont l'une des infections sexuellement transmissibles (IST) les plus courantes dans le monde.

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Qu'est-ce que le papillomavirus ?

Le virus du papillome humain (HPV) est un virus à ADN de petite taille qui infecte la peau et les muqueuses humaines. Il existe plus de 200 types différents de HPV, chacun étant identifié par un numéro ou un nom de type spécifique. Ces types de HPV peuvent être classés en deux catégories principales en fonction de leur potentiel oncogène, c'est-à-dire leur capacité à provoquer le développement de cancers.

Description et caractéristiques du virus

  • Structure : Le HPV est un virus à ADN qui possède une structure extérieure composée de protéines appelées capsides. Sa petite taille et sa forme particulière lui permettent de pénétrer les cellules humaines.
  • Transmission : Le HPV se transmet principalement par contact cutané ou sexuel, y compris les rapports sexuels vaginaux, anaux et oraux. Il peut également se propager par le contact avec des objets contaminés, bien que ce mode de transmission soit moins courant.
  • Symptômes : De nombreux types de HPV sont asymptomatiques, ce qui signifie qu'ils ne provoquent aucun symptôme perceptible chez la personne infectée. Cependant, certains types de HPV peuvent entraîner des symptômes, tels que des verrues génitales ou des lésions précancéreuses.
  • Latence : Le HPV peut rester latent dans le corps pendant de nombreuses années, ce qui signifie que la personne infectée peut ne pas savoir qu'elle est porteuse du virus. Cela rend la prévention et le dépistage cruciaux.  

Différents types de HPV : haut risque et bas risque

  • HPV à bas risque : Ces types de HPV sont généralement associés à des verrues génitales, également connues sous le nom de condylomes génitaux. Bien que les verrues génitales puissent être gênantes, elles sont généralement bénignes et n'augmentent pas le risque de cancer.
  • HPV à haut risque : Les types de HPV à haut risque sont ceux qui ont le potentiel de provoquer des lésions précancéreuses ou des cancers. Le HPV à haut risque est responsable de la grande majorité des cas de cancer du col de l'utérus, mais il est également associé à d'autres cancers, tels que le cancer de la gorge, du rectum, de la vulve, du pénis et de l'anus.

Mode de Transmission du HPV

Le virus du papillome humain (HPV) se transmet principalement par contact cutané ou sexuel.

Comment le HPV est-il transmis ?

  • Par contact sexuel : Le mode de transmission le plus courant du HPV est par des rapports sexuels, y compris les rapports vaginaux, anaux et oraux. Lorsqu'une personne est infectée par le HPV, le virus peut être présent dans les cellules de sa peau ou de ses muqueuses génitales.
  • Par contact cutané : Le HPV peut également se propager par un simple contact cutané avec une zone infectée. Par exemple, en touchant des verrues génitales ou des lésions cutanées causées par le HPV, le virus peut être transféré à d'autres parties du corps ou à d'autres personnes par la suite.
  • Par objets contaminés : Bien que moins fréquent, le HPVpeut survivre temporairement sur des objets contaminés, tels que des serviettes, des sous-vêtements ou des jouets sexuels.

Facteurs de risque de transmission

  • Comportements sexuels : Les comportements sexuels, en particulier le nombre de partenaires sexuels et la pratique de rapports sexuels non protégés, peuvent augmenter le risque de transmission du HPV.
  • Âge : Selon l’OMS, les jeunes adultes et les adolescents sont plus susceptibles d'être infectés par le HPV en raison de comportements sexuels plus risqués et d'une immunité généralement moins développée.
  • Infections sexuellement transmissibles (IST) concurrentes : L'infection par d'autres IST peut augmenter la vulnérabilité à l'infection par le HPV.

Importance de la sensibilisation à la transmission

La sensibilisation à la transmission du HPV est cruciale pour la prévention de l'infection et de ses conséquences, telles que le cancer du col de l'utérus. La sensibilisation peut encourager les individus à prendre des mesures de prévention, notamment la vaccination contre le HPV, l'utilisation du préservatif, le dépistage régulier pour les femmes et la réduction du nombre de partenaires sexuels.

Les campagnes de sensibilisation jouent également un rôle essentiel dans la promotion de la vaccination contre le HPV, qui est efficace pour prévenir plusieurs types de HPV à haut risque de provoquer des cancers.

Symptômes et Manifestations Cliniques

Le virus du papillome humain (HPV) peut provoquer différents symptômes et manifestations cliniques, notamment des verrues génitales, d'autres types de verrues et des lésions précancéreuses ainsi que des cancers associés.

Verrues génitales

Les verrues génitales sont des excroissances cutanées qui se forment dans la région génitale, y compris le pénis, le scrotum, la vulve, le vagin, l'anus et le rectum.

Elles sont généralement indolores, mais peuvent parfois provoquer des démangeaisons, une gêne ou des saignements légers.

Les verrues génitales sont causées par des types de HPV à bas risque et peuvent apparaître plusieurs semaines à plusieurs mois après l'infection.

Bien que les verrues génitales soient bénignes, elles peuvent causer des inquiétudes esthétiques et nécessitent un traitement pour les retirer.

Autres types de verrues

En plus des verrues génitales, le HPV peut également provoquer d'autres types de verrues sur différentes parties du corps, notamment :

  • Verrues plantaires : sur la plante des pieds, souvent douloureuses.
  • Verrues palmaires : sur les paumes des mains.
  • Verrues planes : de petites verrues plates qui se forment généralement sur le visage, les mains et les bras.
  • Verrues communes : qui peuvent apparaître n'importe où sur la peau.

Ces verrues sont généralement bénignes mais peuvent être gênantes et nécessiter un traitement pour les éliminer.

Lésions précancéreuses et cancers associés au HPV

Le HPV à haut risque est responsable de la plupart des cas de lésions précancéreuses et de cancers associés, notamment :

  • Cancer du col de l'utérus : Les infections à HPV à haut risque, en particulier les types 16 et 18, sont la principale cause de ce cancer chez les femmes. Les lésions précancéreuses du col de l'utérus peuvent être détectées par le dépistage du HPV et traitées pour prévenir le développement du cancer.
  • Cancer de la gorge : Le HPV peut infecter la gorge et la bouche, ce qui augmente le risque de cancer de la gorge, en particulier chez les personnes pratiquant le sexe oral. Le dépistage et la vaccination sont essentiels pour prévenir ce cancer.
  • Cancer de l'anus : Le HPV est également associé à un risque accru de cancer de l'anus, en particulier chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.
  • Autres cancers : Le papillomavitrus à haut risque peut également être lié à des cancers de la vulve, du vagin, du pénis et d'autres sites.

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Diagnostic du Papillomavirus

Techniques de dépistage : frottis, tests ADN HPV

Le diagnostic du virus du papillome humain (HPV) repose principalement sur des techniques de dépistage, notamment :

  1. Frottis cervico-vaginal (Pap smear) : Cette méthode consiste à prélever des cellules du col de l'utérus chez les femmes. Ces cellules sont ensuite examinées au microscope pour détecter des lésions précancéreuses ou cancéreuses causées par le HPV.
  1. Tests ADN du HPV: Ces tests recherchent la présence de matériel génétique du HPV dans les cellules cervicales. Ils sont plus sensibles que le frottis et peuvent détecter le HPV à haut risque, même en l'absence de lésions visibles.

Le diagnostic des verrues génitales est clinique et se fonde donc sur l’aspect et la localisation de la lésion. Dans ce cas, il n’y a pas besoin d’examen complémentaire.

Quand et comment se faire dépister ?

Le dépistage du HPV est essentiel pour détecter les infections précoces, les lésions précancéreuses et les cancers associés au HPV. Voici des recommandations générales pour le dépistage :

  • Les femmes devraient commencer à être dépistées pour le HPV à partir de l'âge de 21 ans. Avant cela, le dépistage n'est généralement pas nécessaire.
  • Le dépistage peut être effectué régulièrement selon les recommandations de votre professionnel de la santé, souvent tous les trois à cinq ans pour les femmes de 21 à 65 ans.
  • Les femmes de plus de 30 ans peuvent choisir de se faire dépister en combinant un frottis cervical avec un test ADN du HPV, ce qui augmente la précision du dépistage.
  • Les hommes ne sont généralement pas dépistés pour le HPV, sauf dans certaines situations médicales spécifiques.

Traitements du HPV

Les traitements du virus du papillome humain (HPV) dépendent des manifestations de l'infection, des verrues génitales aux lésions précancéreuses et aux cancers.

Traitements des verrues

  • Verrues génitales : Les options de traitement comprennent l'application de médicaments topiques, la cryothérapie (congélation des verrues), l'ablation au laser, l'électrocoagulation, ou la chirurgie pour retirer les verrues génitales. Le choix du traitement dépend de la taille, de l'emplacement et du nombre de verrues.
  • Autres verrues : Les verrues non génitales peuvent être traitées avec des médicaments en vente libre, des médicaments sur ordonnance, la cryothérapie, ou des traitements similaires à ceux des verrues génitales.

Prise en charge des lésions précancéreuses et des cancers

Les lésions précancéreuses du col de l'utérus, appelées dysplasies cervicales, peuvent être traitées par diverses procédures, telles que la conisation (ablation d'une partie du col de l'utérus), l'électrocoagulation, la cryothérapie ou la chirurgie au laser. L'objectif est de retirer les cellules précancéreuses pour prévenir le développement ultérieur du cancer.

Le traitement des cancers associés au HPV dépend de leur stade et de leur emplacement. Il peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, l'immunothérapie ou une combinaison de ces modalités.

Suivi médical post-traitement

Après le traitement des verrues génitales, des lésions précancéreuses ou des cancers associés au HPV, un suivi médical régulier est essentiel. Les recommandations de suivi varient en fonction de la gravité de l'infection ou de la maladie traitée, mais elles peuvent inclure des examens médicaux réguliers, des frottis cervicaux de suivi, des tests ADN du HPV et des examens cliniques.

Prévention du HPV

Vaccination contre le HPV : candidats, efficacité, calendrier vaccinal.

La vaccination contre le HPVest recommandée pour les adolescents. Elle est hautement efficace pour prévenir les infections par certains types de HPV à haut risque. Le calendrier vaccinal implique généralement deux ou trois doses.

Le vaccin cible les HPV de haut grade et non pas ceux responsables des verrues génitales.

Utilisation du préservatif et protection pendant les rapports sexuels

Bien que le préservatif puisse réduire le risque de transmission du HPV, il n'offre pas une protection totale, car le virus peut infecter des zones non couvertes.

Dépistage régulier

Les femmes devraient se faire dépister régulièrement pour le HPV, notamment par le biais du frottis cervico-vaginal et des tests ADN du HPV, conformément aux recommandations de leur professionnel de la santé. Pour plus d’informations, vous pouvez prendre rendez-vous en téléconsultation.

Conséquences à Long Terme du Papillomavirus

Impacts sur la fertilité

Le Papillomavirus en lui-même n'a pas d'impact direct sur la fertilité. Cependant, les traitements des complications du papillomavirus, tels que les lésions précancéreuses, peuvent parfois affecter la fertilité, en particulier si des procédures telles que la conisation sont nécessaires.

Risques de récidive ou de complications associées

Les infections à HPV peuvent persister et récidiver, ce qui augmente le risque de verrues génitales et de lésions précancéreuses. Le suivi médical régulier est important pour surveiller et gérer ces risques.

Impacts psychologiques

Le HPV et ses manifestations, notamment les verrues génitales et les diagnostics de lésions précancéreuses ou de cancers, peuvent avoir un impact psychologique significatif. Cela peut inclure le stress, l'anxiété et la stigmatisation. Le soutien psychologique peut être nécessaire pour faire face à ces conséquences émotionnelles.

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Le Papillomavirus dans le Monde

Statistiques mondiales : prévalence, mortalité

Le HPV est l'une des infections virales les plus courantes dans le monde. On estime que plus de 80% des personnes sexuellement actives seront infectées par le HPV à un moment donné de leur vie.

Le HPV est responsable d'un nombre significatif de cas de cancer, notamment du cancer du col de l'utérus, du cancer de la gorge, du cancer de l'anus, du cancer de la vulve, du cancer du pénis et d'autres.

La mortalité due au HPV est particulièrement élevée dans les pays à faible revenu, où l'accès aux soins de santé et aux vaccins est limité.

Actions et politiques de santé publique à l'international

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et d'autres organisations internationales collaborent pour promouvoir la vaccination contre le HPV et mettre en place des stratégies de prévention et de contrôle du HPV à l'échelle mondiale.   

Génétique et Biologie du HPV

Le papillomavirus (HPV) est un virus à ADN de petite taille qui infecte les cellules de la peau et des muqueuses humaines.

Structure et fonctionnement du virus

Le HPV est constitué d'une coque protéique, appelée capside, qui contient son matériel génétique sous forme d'ADN. La capside est composée de protéines appelées capsomères et peut avoir une forme sphérique ou icosaédrique.

Lorsqu'un HPV infecte une cellule humaine, il se fixe à des récepteurs spécifiques situés à la surface de la cellule. Le virus introduit son ADN dans le noyau de la cellule hôte, où il prend le contrôle de la machinerie cellulaire pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales. Les nouvelles particules virales se forment et sortent de la cellule infectée pour infecter d'autres cellules.

Interaction du HPV avec les cellules humaines

Le HPV cible spécifiquement les cellules de la peau et des muqueuses. Il est principalement transmis par contact sexuel ou par contact cutané.

Une fois qu'il a infecté une cellule, le HPV peut persister dans l'organisme pendant de nombreuses années sans provoquer de symptômes.

Certains types de HPV, en particulier les types à haut risque, peuvent provoquer des mutations génétiques dans les cellules infectées, ce qui peut conduire au développement de lésions précancéreuses et, éventuellement, de cancers.

Autres Affections Associées au HPV

Troubles respiratoires

En plus des cancers et des verrues génitales, le virus du papillome humain (HPV) peut être associé à d'autres affections moins courantes ou moins connues, notamment :

  • Papillomatose respiratoire : La papillomatose respiratoire est une affection rare mais grave causée par l'infection par le HPV. Elle se caractérise par la formation de verrues (papillomes) dans les voies respiratoires, y compris la trachée et les bronches. Ces verrues peuvent entraîner des problèmes respiratoires, tels que la toux, l'enrouement et même l'obstruction des voies respiratoires, ce qui peut nécessiter des interventions chirurgicales répétées pour retirer les papillomes.
  • Papillomes oraux et pharyngés : Le HPV peut également infecter la bouche et la gorge, provoquant la formation de papillomes oraux et pharyngés. Bien que moins fréquents que les verrues génitales, ces papillomes peuvent causer des problèmes de déglutition et de respiration.

Affections rares ou moins connues

D’autres affections peuvent être associées au HPV :

  • Verrues cutanées atypiques : En plus des verrues génitales et des verrues communes, le HPV peut parfois causer des verrues cutanées moins courantes, qui peuvent présenter des caractéristiques inhabituelles ou des emplacements inhabituels sur le corps.
  • Kératose épidermodysplasique : Cette affection rare est associée à certains types de HPV. Elle se caractérise par des plaques épaisses et rugueuses sur la peau, en particulier sur les mains et les pieds. Les lésions peuvent ressembler à des verrues, mais elles sont distinctes.
  • Verrues unguéales : Le HPV peut infecter les ongles, provoquant la formation de verrues unguéales qui affectent les ongles des mains ou des pieds. Ces verrues peuvent être gênantes et difficiles à traiter.
  • Syndrome de Rendu-Osler-Weber : Bien que rare, il a été signalé que certaines souches de HPV sont associées à une prédisposition génétique au syndrome de Rendu-Osler-Weber, une maladie caractérisée par des malformations vasculaires.

Ressources et Soutien pour les Personnes Affectées par le HPV

Pour les personnes affectées par le virus du papillome humain (HPV), il existe de nombreuses ressources et soutiens disponibles, notamment des organisations, des associations, des lignes d'assistance et des forums de discussion.

Organisations et associations dédiées

  • La Fondation pour la recherche sur le HPV (The HPV Foundation) : Cette organisation à but non lucratif est dédiée à la sensibilisation, à la recherche et à l'éducation sur le HPV.
  • La Société internationale du papillomavirus (International Papillomavirus Society) : Cette société savante internationale se consacre à la recherche et à l'éducation sur le HPV.  

Lignes d'assistance et forums de discussion

  • Hotlines médicales locales : De nombreuses régions disposent de hotlines médicales où vous pouvez poser des questions sur le HPV et obtenir des informations sur les ressources locales.
  • Ligne nationale de prévention du cancer : Dans certains pays, il existe des lignes d'assistance nationales dédiées à la prévention du cancer, où vous pouvez obtenir des informations sur le HPV et les programmes de dépistage.
  • Des forums de discussion en ligne et des groupes de soutien sur les réseaux sociaux peuvent être des espaces utiles pour partager des expériences, poser des questions et obtenir du soutien de la part d'autres personnes touchées par le HPV.
  • Veillez à rechercher des groupes ou des forums fiables et modérés pour garantir la qualité des informations partagées.  
Pour conclure :

Il est essentiel de souligner l'importance de la prévention et du dépistage dans la lutte contre le papillomavirus (HPV) et les problèmes de santé qui lui sont associés. La prévention par la vaccination, l'utilisation du préservatif et l'adoption de comportements sexuels sûrs peut réduire considérablement le risque d'infection par le HPV.

Il est également important de transmettre un message d'espoir grâce aux avancées médicales et à la recherche. La vaccination contre le HPV a été un grand succès en prévenant les infections et les cancers associés au HPV. De plus, la recherche continue à améliorer nos connaissances sur le HPV, à développer de nouveaux traitements et à mieux comprendre comment prévenir et combattre cette infection virale.

Sources :

https://www.ameli.fr/orne/assure/sante/themes/mst-ist/maladies-infections-sexuellement-transmissibles

https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=papillomavirus-pm

https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2544424-papillomavirus-symptomes-temps-a-se-declarer/

https://www.who.int/fr/news/item/20-12-2022-WHO-updates-recommendations-on-HPV-vaccination-schedule

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